Mozzarella
La mozzarella, je la déguste en toute saison; mozzarella di buffala Campana AOP, comme il doit.
En hiver, point de tomates ni basilic qui s'accordent si bien avec la délicate blancheur et la saveur subtile de ce mets, si doux au palais.
Celle au lait de vache est très très peu goûtue, c'est le moins que l'on puisse dire. Je lui concède cependant un caractère fondant et un certain filant très appropriés sur une pizza par exemple. Je réserve donc l'usage de la mozza au lait de vache aux plats chauds.
Je la sers donc avec des anchois de Collioure idéalement dessalés par mon époux - chacun sa tâche-parsemée de quelques câpres et accompagnée d'une jolie petite Trévise bien ronde. Le tout arrosé d'une lichette d'huile d'olive monovariétale, et de production locale, que j'affectionne tout particulièrement : l'Olivière.
Ceci étant dit, mais dois-je vous le confier ?
Je n'aime rien tant que la déguster nature, délicatement déchirée avec les doigts et portée ainsi à la bouche avec délectation. C'est divin!
Essayez ! Un bon produit, dégusté dans son plus simple appareil, a-t-on seulement fait mieux ?